Recouvrement amiable ou judiciaire : pourquoi vous vous trompez (souvent) de stratégie

Recouvrement amiable ou judiciaire :

pourquoi vous vous trompez (souvent) de stratégie
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Recouvrement amiable ou judiciaire

Je veux l’assigner direct !

Combien de fois avons-nous entendu cette phrase, prononcée par des chefs d’entreprise à bout, frustrés par des retards de paiement à répétition.

C’est compréhensible. Mais ce n’est pas toujours la bonne stratégie.

Et dans le domaine du recouvrement de créances, la mauvaise stratégie coûte cher : en temps, en argent, et parfois même en crédibilité.

Alors faut-il opter pour le recouvrement amiable ou engager une procédure judiciaire ? Voici ce que les entreprises doivent savoir… vraiment.

Le réflexe judiciaire : une fausse bonne idée

Quand un client ne paie pas, la tentation est grande de vouloir “frapper fort”.
Envoyer un huissier, mandater un avocat, lancer une assignation… c’est parfois vu comme un moyen de mettre la pression.

Mais ce réflexe repose souvent sur une idée reçue :
👉 qu’une action judiciaire est plus “sérieuse” qu’un recouvrement amiable.

En réalité ?

  • Une procédure judiciaire prend du temps : de plusieurs mois à plusieurs années.
  • Elle coûte cher : frais d’huissier, d’avocat, d’actes, d’exécution… sans garantie de recouvrement au bout.
  • Et elle peut être contre-productive, notamment si le débiteur est insolvable ou si la relation commerciale a vocation à se poursuivre.

Surtout : beaucoup d’entreprises engagent des procédures sans avoir les bons éléments de preuve, ou sans avoir tenté d’autres solutions plus efficaces.

L’amiable, ce n’est pas “être gentil” : c’est être malin

Le recouvrement amiable, chez Recolia, ce n’est pas envoyer trois mails copier-coller et croiser les doigts.
C’est une véritable stratégie structurée, menée avec méthode, professionnalisme et fermeté.

Concrètement, cela veut dire :

  • Analyse du profil du débiteur (particulier ou pro, actif ou non, solvable ou non).
  • Contacts personnalisés : téléphone, SMS RCS, courriers argumentés.
  • Relances avec preuves, articles de lois, échéanciers, offres de règlement adaptés.
  • Et surtout : construction d’un rapport de confiance, avec la capacité à désamorcer les blocages.

👉 Dans plus de 70 % des cas, nos dossiers se règlent sans passer devant un juge.
Parce que le bon message, au bon moment, par le bon canal, ça marche.

Le judiciaire : un levier… à activer au bon moment

Bien sûr, tout ne peut pas se régler à l’amiable. Il y a des cas où la procédure judiciaire est non seulement utile, mais nécessaire :

  • Le débiteur est de mauvaise foi, refuse tout échange ou nie la dette.
  • Les montants sont importants, et le débiteur a un patrimoine saisissable.
  • Il y a un risque de prescription ou un conflit juridique à trancher.
  • L’entreprise veut poser un cadre clair pour éviter les abus futurs.

Dans ces situations, Recolia active son option Procedure+ :
→ coordination avec le commissaire de justice, constitution du dossier, assignation, stratégie d’exécution.
Mais toujours avec une évaluation préalable du rapport effort/risque/rendement.

Notre promesse : ne jamais vous envoyer au tribunal pour rien.

Pourquoi beaucoup d’entreprises se trompent ?

Parce que l’émotion prend souvent le pas sur la raison.
Un impayé, c’est frustrant. On veut agir vite, et fort.

Mais en réalité :

  • Beaucoup d’entreprises n’ont pas de stratégie de recouvrement claire.
  • Elles ne connaissent pas les outils amiables à leur disposition.
  • Et elles sous-estiment les coûts et les délais d’une action judiciaire.

Résultat : elles perdent du temps, de l’argent… et finissent par classer le dossier sans résultat.

Le vrai sujet : bien lire le dossier

C’est là que notre rôle commence.
Chez Recolia, on ne se contente pas de “lancer une procédure”.
On analyse chaque dossier individuellement, pour répondre à trois questions :

  1. Le débiteur est-il en mesure de payer ?
  2. La créance est-elle fondée et bien documentée ?
  3. Quelle action a le plus de chances d’aboutir, dans un délai raisonnable ?

En fonction de ça, on choisit la meilleure voie :

  • Amiable rapide ?
  • Mise en demeure suivie d’un échéancier ?
  • Judiciaire stratégique avec saisie conservatoire ?

Et si le dossier est trop risqué ou mal documenté, on vous le dit.
👉 Mieux vaut un dossier refusé qu’une action perdue.

Envie d’un vrai diagnostic ?

Si vous avez des factures impayées, des relances sans retour ou des doutes sur la suite à donner, contactez-nous.

  • On analyse gratuitement vos dossiers.
  • On vous dit clairement s’ils peuvent être recouvrés, comment, et à quel coût.
  • Et surtout : on ne vous fait payer qu’au résultat.

Parce que notre métier, ce n’est pas d’envoyer des courriers.
C’est de récupérer votre argent.

 

👉 Recolia Recouvrement, c’est l’art du bon choix au bon moment.
Amiable d’abord. Judiciaire si nécessaire. Jamais par principe.

Conclusion

Dans le recouvrement, agir vite ne veut pas dire agir n’importe comment.

Beaucoup d’entreprises pensent encore que seule la justice permet de « faire bouger les choses ». En réalité, c’est souvent l’inverse : une procédure mal engagée vous coûte plus qu’elle ne rapporte.

Chez Recolia, notre rôle n’est pas de vous promettre la lune.
Notre rôle, c’est de protéger votre trésorerie, en vous aidant à faire les bons choix :

Ne pas perdre de temps dans des démarches inutiles.

Ne pas laisser traîner des dossiers à fort potentiel.

Ne pas exploser votre budget juridique pour des créances mal parties.

👉 Que vous soyez en phase de relance, de blocage, ou de doute stratégique, on est là pour vous conseiller en toute transparence.

Une créance bien gérée, c’est une chance de la récupérer.
Mal gérée, elle devient une perte sèche.

Faites le bon choix. Parlez-en avec Recolia.

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