La Terre est plate et le recouvrement amiable est inutile :
Véritable révélation ou simple canular ?
La nouvelle choque ou amuse, c’est selon : la Terre serait plate, et on n’aurait plus besoin de recouvrement amiable. Si vous sentez un paradoxe, rassurez-vous : vous n’êtes pas le seul ! Dans le monde des affaires, il arrive qu’on entende des idées tout aussi abracadabrantes que celle de la Terre plate. Par exemple, la croyance selon laquelle la fermeté extrême ou le silence radio envers un client en retard de paiement serait la meilleure approche.
Dans cet article, on a décidé de casser un peu les codes : parlons de ces “révélations” qui font parfois le buzz, mais qui méritent surtout d’être remises en question. Entre la théorie d’une Terre plate et la prétendue inutilité du recouvrement amiable, quelles sont les vérités qui se cachent (ou non) derrière ces idées ? Préparez-vous à un ton un brin décalé, car parfois, pour faire passer un message essentiel, il faut un soupçon de provocation.
Le pouvoir de la controverse
Qu’il s’agisse de l’idée que la Terre est plate, ou que le recouvrement aimable est superflu, l’engouement naît souvent de l’esprit de contradiction. Les esprits curieux aiment se poser en marge de la “pensée dominante”.
Dans le business, on voit aussi ces entreprises qui revendiquent : “Nous, on n’a pas besoin de recouvrement amiable, on est plus efficaces en étant intransigeants.”
Problème : Ce type d’affirmation peut faire le buzz, mais sur le terrain, c’est rarement payant (au sens littéral).
Le pouvoir d’attention
Comme un titre choc fait cliquer, l’affirmation “la Terre est plate” frappe l’esprit et suscite la curiosité. De même, “le recouvrement amiable ne sert à rien” peut intriguer, mais cette formule ne révèle souvent qu’un manque de connaissance des mécanismes de recouvrement.
La voie de la colère
Lorsqu’on subit des impayés, la colère ou la frustration peut inciter certains chefs d’entreprise à croire qu’il faut “taper du poing sur la table”, menacer et opter directement pour le judiciaire. L’idée reçue ? Plus c’est dur, plus on récupère vite son argent.
Hélas, de nombreuses études et pratiques montrent qu’un dialogue intelligent, un échange documenté et empathique convainquent plus rapidement le client de payer, en évitant la rupture totale.
La méconnaissance des coûts et délais
On sous-estime parfois combien un procès ou un huissier peuvent coûter, et combien de temps cela peut prendre. “Serrons la vis ?” Oui, mais les procédures peuvent traîner des mois, et le client mettre la clé sous la porte, rendant la créance irrécouvrable.
Le recouvrement amiable, bien conduit, réduit ces risques et préserve la trésorerie à court ou moyen terme.
Préserver le lien commercial
Il arrive que vos clients soient en difficulté passagère : un imprévu (panne de matériel, retard de subvention, baisse de trésorerie), et hop, ils se retrouvent en retard de règlement.
Avantage : Un recouvrement amical leur laisse la possibilité de s’expliquer, de négocier un échelonnement ou une remise conditionnelle, tout en sauvant la relation commerciale.
Résultat : Le client se sent compris, ne vit pas la relance comme une agression et honorera plus volontiers sa dette.
Éviter l’explosion des frais et litiges
Le judiciaire n’est pas gratuit : frais d’huissier, d’avocat, le temps passé, etc. Et si l’affaire se complique, les délais s’allongent.
En privilégiant d’abord la voie amiable, vous réduisez drastiquement le risque de dépenser inutilement en procédures longues et coûteuses.
Sans compter que si la situation s’envenime, vous risquez de perdre un client potentiellement bon payeur sur le long terme (une fois sa difficulté temporaire résolue).
Un taux de recouvrement souvent supérieur
Les retours terrain montrent que les entreprises optant pour une démarche amiable (relances progressives, communication structurée) récupèrent leurs créances plus rapidement dans la majorité des cas. Car oui, à moins de tomber sur des fraudeurs patentés, la majorité des impayés se résolvent mieux sans confrontation extrême.
Chez Recolia c’est 85% de dossiers traités à l’amiable.
- Clarifier les conditions de paiement : Tout commence avant même l’impayé. Un devis ou contrat précis, une facture mentionnant les délais et éventuelles pénalités, etc.
- Relance préventive : Quelques jours avant l’échéance, un rappel cordial évite les “oublis” ou retards involontaires.
- Communication empathique : Un email ou un coup de fil amical, soulignant l’importance du règlement et proposant de discuter en cas de souci.
- Plan d’action en cas de non-réponse : De la relance plus ferme à la mise en demeure, en passant par un échelonnement si la bonne foi du client est avérée.
Si vous voulez vérifier par vous-même à quel point le recouvrement amiable n’est pas un mythe (contrairement à la Terre plate), Recolia Recouvrement se tient à vos côtés.
- Professionnalisme : Nous maîtrisons chaque étape, du premier rappel à la résolution amiable, jusqu’au judiciaire en dernier recours.
- Respect de votre image : Nous savons qu’une relation client ne doit pas se briser pour un simple retard de paiement. Notre communication reste courtoise, mais rigoureuse.
- Adapté à vos besoins : Petites créances en nombre, gros dossiers ponctuels, situation de litiges… Nous savons personnaliser nos approches.
Pour le coup, on peut dire que la Terre n’est pas plate, et que le recouvrement amiable ne relève pas de l’inutilité. Au contraire, il s’agit d’une approche clé pour maintenir la trésorerie en bon état et renforcer la pérennité de votre entreprise, tout en préservant la confiance de vos clients.
Alors, si vous entendez que “le recouvrement amiable ne sert à rien”, n’oubliez pas que c’est un peu comme la thèse de la Terre plate : ça fait le buzz, mais ça ne repose sur rien de solide. Contactez Recolia Recouvrement pour une approche alignée sur la réalité, celle où la Terre est ronde et le dialogue reste souvent la meilleure solution pour régler vos impayés.
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